jeudi 4 mars 2010

RENOVATION DES SCIENCES PHYSIQUES SUR LA BASE DE LA QUANTIFICATION GENERALISEE


(c) F.M. Sanchez, 2009

Université Paris 11, 20 Av. d'Ivry, 75013 Paris
hol137@yahoo.fr

La majorité des scientifiques a adopté la thèse d'une ''évolution cosmique'', où un Big Bang est suivi d'une dilution irréversible de l'Univers, à mesure que son rayon de Hubble R augmente, condamnant l'Univers à une mort thermique. En fait, nous montrons que R est directement défini par les constantes physiques fondamentales les plus pertinentes, donc qu'il est invariant. Cette erreur vient de l'assimilation du Temps avec l'Espace par ces formalistes qui ont dirigé le Système scientifique, alors que l'éviction de ''c'' en cosmologie quantique est une évidence. De plus, en appliquant la symétrie électricité-gravitation, notre calcul élémentaire de R s'identifie avec celui d'Arthur Haas qui avait prédit le diamètre de l'atome, 3 ans avant Bohr. En outre, l'élimination de ''c'' entre les 3 interactions les plus précisément connues (gravitation, électricité, nucléaire faible) définit une constante de temps de 13,69 milliards d'années, compatible numériquement avec le ''soi-disant âge de l'Univers'' officiel, défini à 1 %, mais qui est donc plutôt la ''constante de temps'' de l'expansion exponentielle de l'Univers permanent de Gold, Bondi et Hoyle. Dans ce ''modèle permanent'', qui fut dominant autour des années 1950, le rayon de Hubble est fixe, et la raréfaction galactique est compensée par l'apparition de jeunes galaxies. Ce ''modèle permanent'' avait correctement prédit l'existence, l'homogénéité et la température du fond thermique, ainsi que l'accélération de la fuite galactique, et ce, contrairement au Modèle Standard, qui a dû s'ajuster à ces observations, notamment en introduisant une ''inflation'' précédant le Big Bang, et une ''constante cosmologique'' ad-hoc dans les équation locales prétendant régir le Monde. De plus, l'élimination de ''c'' entre les seules interactions gravitationnelle et nucléaire donne la période des oscillations cosmiques cohérentes, qui, dépourvue d'effet Doppler, constitue une horloge universelle absolue. La permanence de R est confirmée par ses corrélations holographiques indubitables avec cette période absolue. Les masses caractéristiques de l'ADN apparaissent dans ces relations, confirmant l'hypothèse calculatoire de l'Univers, ruinant l'évolution hasardiste de Darwin et l'interprétation standard de la Mécanique quantique. La vie est donc un élément essentiel de l'Univers et doit se trouver partout: c'est le début de l'Exobiologie.
L'idée d' évolution cosmique'' est fortement ancrée dans l'inconscient collectif moderne. C'est cette ''idée reçue'', popularisée par les média, qui a conduit les formalistes a préférer le modèle du Big Bang à celui de l'Univers Permanent de Thomas Gold. Si le grandiose phénomène de la fuite des galaxies semble impliquer directement une raréfaction de la matière dans l'Univers, en fait, il n'en est rien : un modèle Permanent est tout à fait concevable. Il suffit d'admettre l'apparition constante de bébé-galaxies venant assurer une invariance de la densité cosmique. De la sorte, l'Energie de l'Univers Observable, définie dans un ''rayon de Hubble'' fixe, est conservée. L'idée de cet Univers Permanent est venu à Gold à la suite du film ''Dead of the Night'', où la fin est identique au début : une apparence de changement se dissoud donc dans une permanence d'ensemble.
Rappelons comment est mesuré ce rayon R de l'Univers Observable : les galaxies présentent un décalage spectral relatif qui croît avec à leur éloignement, et cette fonction démarre de manière linéaire. Ainsi une galaxie qui présente un décalage de 20 % est deux fois plus éloignée que celle qui ne présente que 10 %. En extrapolant à 100%, on définit donc une distance, appelée officiellement ''Longueur de Hubble'' (Hubble Length).
Rappelons qu'il y a deux façons très générales d'aborder un problème physique. Soit on se base sur des lois locales, soit sur des principes très généraux, comme l'analyse dimensionnelle élémentaire (qui a initié la synthèse électricité-magnétisme de Maxwell), ou des lois de conservations, comme celle de l'énergie par exemple.
La ''conservation de l'énergie'' exprime une propriétée de permanence du monde physique, qui  fut, à l'époque, une totale surprise. Rappelons que c'est l'observation d'un brasseur anglais, Joule, qui s'étant aperçu de l'élévation de température lors du brassage de la bière, a orienté les physiciens vers l'interprétation énergétique de la chaleur, et donc la découverte surprenante d'une loi très générale, qui ne reçoit aucune explication réductionniste détaillée, le principe de conservation de l'énergie.
Mais les formalistes n'ont pas tiré la leçon de la puissance de ces méthodes globales : ils se sont concentrés sur les approches réductionnistes, à savoir l'utilisations d'équations locales, pour aborder la ... cosmologie !
C'est ainsi que la Relativité Générale, une théorie locale, est considére comme le seul fondement de la cosmologie moderne ! Mais pour pouvoir traiter les équations, on est obligé de recourir à un principe général, le ''Principe Cosmologique'', qui veut que l'Univers soit homogène : il ne possède aucun endroit privilégié. Mais, par contre, il aurait un instant privilégié, celui du ''Big Bang''. Nous allons voir qu'il n'en est rien, et que le ''Principe Cosmologique Parfait'' de Gold ci-dessus est nécessaire : ni lieu ni instant privilégié. C'est le fondement de la cosmologie d'Hermann Bondi [1], reprise par Hoyle, qui préféra cependant rajouter un terme dans les équations locales [2].
Comment les formalistes ont-ils pu commettre une telle erreur : baser l'étude du Grand à partir du Petit ? Pourtant Henri Poincaré avait prévenu [3]: puisque l'Univers n'est tiré qu'à un seul exemplaire, les équations locales ne sauraient le décrire complètement. C'est pourquoi les formalistes admettent que les vingt paramètres libres du modèle standard des particules ne peuvent être justifiés. Pour évacuer ce dilemme des paramètres libres, la plupart des théoriciens en sont même venus à supposer l'existence d'une multitude d'Univers (''Multivers'') correspondant à tous les choix possibles de la vingtaine de paramètres qui caractérise le modèle standard des particules. Nous ne serions que dans l'un des rares modèles habitables [4] !
Or, l'auteur, spécialiste en holographie, a émis dans les années 1990, un principe de conservation des canaux holographiques, dans le cadre d'une physique entièrement quantifiée (Principe Holique), qui fut publiée à Cambridge  [5]. Ce principe semblait s'appliquer en microphysique, mais il fut, dans un premier temps, impossible de l'appliquer à la cosmologie, puisque son application nécessite une sphère cosmologique de référence, donc fixe. Car il était enseigné, et c'est toujours le cas, que l'horizon galactique de notre Univers (le rayon de Hubble) croît sans cesse.
Heureusement, ayant obtenu une année sabbatique (1997-98) pour mettre en forme son Principe Holique, nous avons découvert, dans nos 3 premières minutes de cosmologie, une invraisemblable carence dans l'approche officielle. La technique physique globale la plus élémentaire n'avait jamais été utilisée en cosmologie ! En effet, si l'on écarte la vitesse de la lumière, l'analyse dimensionnelle la plus élémentaire donne le bon ordre de grandeur du rayon galactique R de l'Univers.
Apparemment, personne n'avait songé à éliminer ''c'', pourtant une vitesse visiblement trop lente pour assurer une cohésion quantique de l'Univers. D'ailleurs le modèle officiel rencontre un ''problème de l'horizon'', dû à l'excessive lenteur cosmique de la vitesse-lumière, mais croit s'en tirer en introduisant l'inflation, un pré-Big-Bang supraluminique !
Puisque notre calcul s'appuie sur des constantes universelles réputées fixes, ce rayon est donc fixe, et on peut donc lui appliquer le Principe Holique, ce que l'auteur a fait dans cette année sabatique, réunissant alors directement les grandeurs cosmologiques avec les grandeurs microphysiques (''Axe Topologique''), et, plus tard, même biologiques ! Mais ces découvertes furent censurées, car violant le dogme de la variabilité de R.  Pourtant, dans l'intervalle, un ''Principe Holographique'' assez flou (utilisant le vague concept d'information et non celui, plus précis, de canal d'information) aparaissait en physique théorique officielle, mais ne reçut aucune application cosmologique, en raison, précisément, de la croyance dans la variabilité de R [6]. D'ailleurs ceux qui revendiquent la paternité de ce Principe Holographique montrent une totale méconnaissance de ce domaine.
Le plus cocasse, c'est que depuis longtemps on avait remarqué une vague relation entre grandeurs cosmologiques et microphysiques. Ainsi le rapport des forces électrique et gravitationnelle dans l'atome d'Hydrogène, un nombre énorme à 40 chiffres, semblait curieusement voisin de l'âge de l'univers rapporté au ''tempon'', le temps que met la lumière pour traverser un noyau nucléaire. La seule explication officiellement retenue à ce lancinant ''problème des grands nombres'' (en fait un ''faux problème'', ou un indice précieux, comme vu plus haut) est que cela revient à dire, après un calcul compliqué, que l'âge actuel de l'Univers est de l'ordre du temps de vie d'une étoile. De la sorte, les formalistes invoquent le ''principe anthropique'' pour justifier que la vie ne pouvait apparaître qu'après au moins une génération d'étoiles, pour que l'Espace soit ensemencé de ce carbone nécessaire à la vie [7]. Certains tenants du Multivers en font un argument pour leur thèse [4].
Ces explications officielles sont floues et imprécises. Par contre, la pertinence de notre approche est confirmée par les points suivants :
°Le même type d'analyse dimensionnelle avait permis au thésard Arthur Haas [6], utilisant le modèle de Thomson, de prévoir le diamètre de l'atome, 3 ans avant Bohr. Le facteur 2 (diamètre /rayon) s'identifie avec le facteur manquant dans notre calcul de R, qui devient compatible avec les plus récentes estimation (2% en 2008 [9]).
°L'approche d'Eddington revenait à une formule analogue pour R [10]. Mais sa Théorie Fondamentale a été fustigée puis oubliée.
°Le ''modèle de permanence'' avait prévu, dès les années 1950, l'existence d'un fond de rayonnement thermique homogène, résultant de la transformation d'Hydrogène en Hélium dans les étoiles, avec prédiction correcte de sa température, en une seule ligne de calcul [11]. Par contre, la thèse officielle interprète le fond de rayonnement comme trace du Big Bang, mais n'a jamais prévu correctement sa température. La présentation officielle de ce fond comme preuve du Big Bang est donc une totale mystification. Comme vu ci-dessus la grande homogénéité du fond posa de graves problèmes au modèle officiel. Celui-ci prétend expliquer les inhomogénéité, mais sans tenir compte des galaxies dans la ligne de visée !
°Le ''modèle de permanence''  avait prévu l'accélération de la fuite galactique, le mouvement étant même exponentiel. Le milieu officiel a été pris de court quand cette accélération a été constatée. Tous les traités de cosmologie ont été corrigés à la hâte, et dans la plus grande discrétion, autour de l'an 2000, pour introduire un terme ad-hoc supplémentaire dans les équations locales.
Tout nos résultats ont été placés sur le net, et furent même un temps placé sur la ''liste noire à déconseiller aux lycéens''. Mais l'astrophysicien Jean-Claude Pecker a permis à l'auteur de présenter une conférence au Collège de France, le 27 Février 2004 [12], où  la permanence de l'Univers fut confirmée par des relations holographiques très précises faisant intervenir la longueur d'onde caractéristique du rayonnement de fond.
En éliminant la vitesse lumière entre les trois interactions les mieux connues (gravitation, électricité et interaction nucléaire faible) on aboutit directement à une constante temporelle qui s'identifie avec le prétendu ''âge de l'Univers'', déteminé par le modèle standard à 1% près : 13.7 milliards d'années. Il ne s'agit donc pas d'un âge, mais de la constante temporelle caractéristique de l'exponentielle de l'Univers Permanent de Gold.
De plus, ce calcul donne un temps intermédiaire qui s'identifie à 10-4 près, à la constante cosmologique la mieux définie, la période des oscillations cosmiques non-Doppler, (voir ci-dessous), ce qui confirme que la physique doit admettre des tachyons, particules hautement super-relativistes [13]. De manière encore plus fondamentale, l'auteur montre que, tandis que les officiels butent sur une incompatibilté théorique pour réunir gravitation et électricité, un simple ''modèle d'Atome Noir'' permet de les réunir [13].
L'auteur a entrepris d'alerter le public, en commençant par un livre de niveau élémentaire :  ''Le Pain du Sage. Le Retour du Sens'' [14].
En conclusion, la méthode scientifique correcte a été trahie par ces formalistes qui ont prétendu régenter le Monde par quelques équations locales. Incapables de reconnaitre une suite d'erreurs, ils ajoutent des ''épycycles'' suplémentaires pour sauver leur modèle. Mais une observation leur sera fatale, car elle ne pourra être corrigée par aucun artifice de calcul : la Permanence prévoit que les galaxies lointaines sont en tout point semblables aux proches, ce qui devrait se confirmer dans les années qui viennent, à l'aide des télescopes de plus en plus puissants qu'on met en service.
Il est à prévoir que le Système Scientifique actuel ne s'en remettra pas : il devra être restructuré de fond en comble. Et ce d'autant plus que la connexion des paramètres biologiques avec les paramètres dits ''libres'' [12] remet fortement en question la thèse darwiniste d'une évolution biologique aveugle, et rétablit le vivant dans une place centrale dans l'Univers, non pas géométriquement ni temporellement, mais numériquement. En effet, la température de 37° C, ainsi que celle du point triple de l'eau (0°C) apparaissent sans ambiguités comme des valeurs très particulières, la dernière s'inscrivant dans l'extraordinaire ''Relation des points triples'', qui fait apparaître la température du !fond Cosmique [12].
Le concept de matière lui-même est précisé : ce serait un nombre de canaux d'information. Une preuve spectaculaire est donnée par l'examen des masses caractéristiques dans l'ADN. En fait les 2 couples de ribo-nucléotides internes AT (Adémine-Thymine) et GC (Guaninie-Cythosine) ont la même masse à 10-3 près (respectivement 617.8 et 628.4 Dalton). De plus la masse du codon correspondant aparaït sans ambiguité dans les relations holographiques. Cela signifie que l'Univers utilise l'ADN pour conduire ses calculs. On peut en conclure que la vie est indispensable et partout présente dans l'Univers. Ainsi la recherche de l'Oxygène dans les atmosphères planétaires devrait confirmer l'omniprésence de la vie.
Déjà des acides aminés ont été repéré dans les espaces intersidéraux, de façon totalement inattendue : c'est le début de l'Exobiologie. Les températures caratéristiques (points triples) des principales molécules : Hydrogène, Oxygène et Eau apparaissent sans ambiguité dans les relations holographiques. L'interprétation de la Mécanique Quantique doit donc être revue en supprimant tout recours au hasard. Il en est de même de l'évolution à la Darwin, qui prétend que le hasard peut générarer de nouveaux organisles ! Le fait même qu'un large consensus scientifique se soit porté sur une telle affirmation est révélateur du danger du concept même de consensus scientifique. En fait, le mécanisme de blocage des découvertes est identifié : toute déviation de la pensée dominante est censurée par le Système. C'est ainsi que le découvreur du prion, Prusiner fut censuré jusqu'à ce que la maladie de Crusfel-Jacob (la vache folle) ait produit ses ravages. On lui donna finalement le prix Nobel, mais il était trop tard. De même le découvreur de la dérive des continents, Alfred Wegener, dû attendre 50 ans avant que l'on admette sa théorie. Le cas le plus célèbre est celui de Galilée. A l'époque tous les savants se rangeaient sur l'opinion de l'Eglise. De nos jours, c'est l'Eglise qui a tendance à s'aligner sur de faux consensus scientifiques!
Les calculs mettent en évidence un ''Grandcosmos'' 10180 fois plus étendu que notre univers actuellement observable. Son volume est directement lié au super grand nombre 137.036137.036, où ce nombe 137.036 est la principale constante numérique inexpliquée. Or l'importance de ce super-nombre avait été prédite par sa relation avec une autre constante, le rapport de masse proton – électron, dans le cadre d'un calculateur optimal [13]. L'hypothèse de l'Univers-calculateur est donc amplement confirmée, ainsi que l'hypothèse du ''tout quantique''.
Un autre dogme de la science moderne est celui de la continuité. Or si l'on suppose que l'Univers est un calculateur parfait, le temps ne peut être que discontinu. On résoud alors l'énigme lancinante de la dissymétrie ente la matière et l'anti-matière : il suffit de supposer qu'entre deux 'réapparitions' on passe par l'état ''anti-matière''.
Confirmation par les Oscillations Cosmiques Cohérente : Une série d'observations, s'étalant sur les trente dernières années a constaté un fait incroyable, qui bouleverse tout ce qui était admis jusque-là en Physique : l'émission (en optique et en rayons X) de certains quasars oscille avec une même période égale à 9600,6 s, avec une phase demeurant constante sur des décennies [15][16]. L'absence d'effet Doppler, mis à part un déphasage d'un quasar à l'autre, est rigoureusement contradictoire avec les fondements même de la cinématique classique. Par contre, cela est conforme à l'approche holistique de Sanchez, qui suppose l'existence d'interactions hyper-rapides. En effet, on calcule simplement cette période en éliminant la vitesse lumière entre les constantes d'interaction gravitationnelle et nucléaire faible [7].
Cette période avait été initialement repérée dans notre Soleil [17][18][19]. Devant l'absence d'explication, l'astronome Valéry Kotov a émis l'hypothèse que cela pourrait provenir d'une interaction avec des ondes gravitationnelles cosmiques. Il retrouva cette même période dans la  révolution d'étoiles doubles, et il montra qu'on la retrouvait même parmi les fréquences les plus caractéristiques du système solaire [20] [21], tandis que la longueur associée par ''c'' est la plus résonnante dans le Système Solaire [20]. Enfin, tournant son observation vers les objets les plus denses de l'Univers, les amas actifs de galaxie, il retrouva cette même fréquance avec une intensité accrue [15][16] dans une vingtaine de cas.
Mais les formalistes ne prennent pas encore ces observations au sérieux : ainsi ils vont même jusqu'à censurer les observations génantes ! De ce simple fait, le Système scientifique actuel perd pour nous toute crédibilité.
Nous avons exposé au Collège de France en 2004, à l'initiative de J.C. Pecker, une série incroyable de relations entre cette période unverselle et les paramètres physiques, ce qui prouve que c'est toute la Physique, et non seulement la Cosmologie, qui doit être rebâtie sur une nouvelle cinématique ultra-relativiste. De plus, la période solaire de 11 ans, toujours inexplicable avec la physique actuelle, rentre de façon spectaculaire dans ces corrélations, trahissant son origine cosmique.

Références
[1] H. Bondi and T. Gold, “The steady-state theory of the expanding universe”, Monthly Notices of the Royal Astronomical Society 108, 252 (1948).
[2] F. Hoyle, Monthly Notices of the Royal Astronomical Society 108, 372 (1948).
[3] H. Poincaré, ‘Conférence à l’Université de Londres’, Dernières Pensées (Flammarion, 102-103,1913).
[4] B.J. Carr and M. J. Rees, ‘The anthropic principle and the structure of the physical world’, Nature, vol. 278, 605-612 (1979).
[5]  F. M. Sanchez, Holic Principle, ANPA conf, sept 1994. ANPA 16, Cambridge (1995), See also 'Principe Holographique Universel, 2003, http://grandcosmos.org.
[6] Voir 'Holographic Principle' dans Wikipédia : 'Cosmological holography has not yet been made mathematically precise, partly because the cosmological horizon has a finite area and grows with time.'
[7] B. Carter, “Large number coincidences and the anthropic principle in cosmology”, in Confrontations of Cosmological Theories with Observational Data (I. a. U. symposium 63) ed. M. Mongair, 291- 298 (Reidel, Dordrecht, 1974).
[8] A. Hermann, The Genesis of Quantum Theory, pp. 92-93 (MIT press, Cambridge, Mass., 1971),
[9] F.M. Sanchez and C. Bizouard, ‘Radius Invariance of the Observable Universe’,  Galilean Electrodynamics, vol 19, no 2, 39-40, (2008).
[10] A.S. Eddington, The Nature of the Physical World (Camb. Univ. Press (1929).
[11] F. Hoyle et al. A Di®erent Approach to Cosmology (Cam- bridge Univ. Press, Cambridge, 2000), p. 83.
[12] F.M. Sanchez, ‘Towards the grand unified Holic Theory’. Current Issues in Cosmology. Ed. Pecker and Narlikar, Camb. Univ. Press, 257-260, (2006).
[13] F.M. Sanchez, V. Kotov and C. Bizouard, Evidence for a Steady-state, Holographic, Tachyonic and Super-symmetric Cosmology. Galilean Electrodynamics, Vol 20, Special Issues, N° 3, p. 43-53, Summer 2009.
[14] F.M. Sanchez. 'Le Pain du Sage. Le Retour du Sens', Editions du JIPTO, 2009. Traduction en russe en cours.
[15] V. A. Kotov and V. M. Lyuty, Compt. Rend. Acad. Sci. Paris 310, ser. II, 743 (1990).
[16] V. A. Kotov et al., Astrophys. J. 488, 195 (1997).
[17] A. B. Severny, V. A. Kotov, and T. T. Tsap, Nature 259,87 (1976).
[18] J. R. Brookes, G. R. Isaak, and H. B. van der Raay, Nature 259, 92 (1976).
[19] P. H. Scherrer and J. M. Wilcox, Solar Phys. 82, 37 (1983).
[20] V. A. Kotov, Izv. Krym. Astro¯z. Obs. 104, n. 1, 169 (2008).
[21] V. A. Kotov, Izv. Krym. Astro-¯z. Obs. 104, n. 2 (to be published).